samedi 18 juin 2011

Ze come back

Bon, bon, bon.

Une fois de plus, cela faisait un loooong moment que je n'avais plus mis ce blog à jour. Pour la simple et bonne raison : je n'avais rien à dire de très spécial.
Cependant, j'ai récemment repris quelques activités.
J'ai commencé l'écriture d'une nouvelle histoire de type science-fantasy (c'est encore un peu tôt pour en dévoiler l'intrigue ici) et j'ai renvoyé de nouveaux exemplaires de la Sphère de l'Aube légèrement retravaillé à 4 éditeurs qui acceptent l'envoi par email (il faut dire que les frais de la dernière fois m'ont un peu calmé ^^) : Casterman, Gründ, Oskar Jeunesse et BAAM. J'en profite pour remercier encore les membres du collectif CoCyclics qui ont rédigé un excellent guide, le GGG (Grimoire Galactique des Grenouilles), qui m'a été d'une grande aide pour la découverte de maisons d'édition que je ne soupçonnais pas.

Concernant le nouveau roman que j'ai commencé qui sera un one-shot, je ne peux pas encore faire de grandes révélations même si le scénario est déjà complet et que j'ai écrit environ 2500 mots. Il sera sans doute moins jeunesse que la Sphère de l'Aube mais s'adressera toujours à un public jeune, ados/grands ados. Même si je le considère comme de la science-fantasy, je pense la fantasy gravitera autour de mon univers SF. En tout cas, je pense tenir quelque chose qui me plait réellement et j'espère un jour vous le faire partager. ;)

Pour la suite, j'attends donc la réponse de 4 maisons d'édition pour la Sphère de l'Aube dans les prochains mois et je tâcherai de me motiver à 200% pour continuer ce nouveau roman que j'ai commencé il y a peu.

Je ne vais pas promettre que je tiendrai ce blog à jour aussi bien qu'avant, car mes promesses ont du mal à être respectées. ^^

vendredi 15 octobre 2010

Réponse des Editions Milan

Ce matin, j'étais en train de me dire que cela faisait un moment que je n'avais plus mis à jour mon blog. Et pour cause, je n'avais rien à raconter. Coïncidence, une réponse arrive ce matin.
Les éditions Milan se sont manifestées. Dans mon précédent message je disais que je leur enverrais un email pour savoir si mon manuscrit était effectivement arrivé à destination. Il m'a été assuré que mon manuscrit était toujours "en lecture". Je pense qu'il ne fallait pas comprendre qu'il était étudié pour le moment, mais qu'il était dans la pile du comité de lecture.
Finalement, ce matin, ils m'ont répondu. Mais pas de la façon dont je l'espérais. un nouveau courrier, un nouveau refus. J'avais un peu d'espoir sachant que cela faisait plus de 5 mois que le manuscrit était chez eux. Je me disais que plus ça leur prendrait du temps, mieux ce serait pour mon manuscrit. De plus, je m'attendais à un peu plus qu'un simple refus. Je pensais trouver dans la lettre quelques encouragements ou conseils de leur part. Ils annonçaient sur le site qu'ils prenaient en compte aussi bien le fond, que la forme, le style, l'histoire, etc...

Les manuscrits envoyés lors de la première salve du mois de mai ont obtenu une réponse. Il ne reste que les deux manuscrits envoyés fin aout à l'Atalante et au Pré aux Clercs qui pourront me fixer définitivement sur le sort de mon histoire. Je ne pense pas envoyer de nouveaux exemplaires à qui que ce soit. Avoir 9 refus me semble suffisant dans un premier temps.
J'ai quelques autres scenarii qui pourraient être intéressants et je tenterai une nouvelle chance avec ceux-là.

dimanche 5 septembre 2010

Retour des vacances

Me voilà de retour, frais et dispo comme on dit. J'ai pleinement profité du soleil du sud sans avoir vu la moindre goutte de pluie à l'horizon.
Une fois rentré, je me suis empressé de regarder le courrier qui avait été relevé en mon absence. Je m'attendais à recevoir enfin une réponse des éditions Milan et... toujours rien. D'un autre côté je me suis dit : c'est peut-être une bonne nouvelle, ils ont essayé de me contacter, mais comme j'étais à l'étranger ils m'ont envoyé un email. Las des 11h de voyage, je préfère aller dormir. J'allumerai mon ordinateur le lendemain.
Par contre, j'ai reçu une lettre des éditions L'Atalante. Rappelez-vous, j'avais annoncé que j'enverrai deux autres manuscrits pendant mon séjour, afin d'économiser des frais de port assez importants en Belgique. Leur lettre est un accusé de réception de mon manuscrit. Ils annoncent un délai de réponse de 3 mois environ. S'ils ne répondent pas dans ce délai, c'est que le manuscrit n'a pas été retenu de toute façon. Je l'ai également envoyé aux éditions du Pré aux Clercs. Comme je vous l'avais dit, j'avais pour but de réduire les frais de port. Et ça a marché. Sauf que je n'ai économisé que 1€ au total. La dame qui travaillait au bureau de la poste m'a dit que je devais utiliser les paquets collisimo. Elle pensait que ça ne rentrerait pas dans les paquets plus petits. Au final, ça n'a pas été une énorme économie pour moi. Un envoi national en France m'a coûté aussi cher qu'un envoi international à partir de la Belgique. Au final, je pense que je me suis bien fait avoir. ^^

Donc, j'ai allumé mon ordinateur ce matin et je me suis empressé de vérifier mon courrier. Rien. Pas la moindre réponse des éditions Milan. Aujourd'hui, cela fait 4 mois que les manuscrits sont partis. Ils annoncent un délai de 2 à 3 mois. Je me dis que les vacances doivent sans aucun doute avoir des répercussions sur le délai. Du coup, je ne sais pas si je dois leur adresser un email pour leur demander s'ils ont bien reçu et lu mon manuscrit ou si je dois encore attendre. Si j'attends, ce sera deux ou trois jours, histoire de laisser le week-end de la rentrée se passer.

J'en suis donc à 6 refus sur 9 et en attente de 3 réponses.

Côté écriture, cela n'a pas été productif. Fatigué et exténué par les multiples découvertes et visites, je n'ai pas réussi à trouver l'inspiration. Pourtant, le calme était de la partie. Je n'ai écrit que 300 petits mots pour le deuxième tome de la Sphère de l'Aube. Je compte m'y remettre plus sérieusement ici.

vendredi 20 août 2010

Vacances

Dans quelques heures, je pars pour quinze jours dans le sud de la France. C'est vrai que ça ne va pas changer grand chose dans la vitesse de publication des articles de ce blog. Mon dernier message date de plus de 15 jours. Il faut dire que je n'ai plus écrit depuis l'envoi des manuscrits du premier tome. Je suis tellement tourné là-dessus que j'ai attendu une réponse avant de m'y remettre. Mais avec ces vacances, je vais pouvoir m'y remettre à un bon rythme. Loin de tout, c'est de là-bas que j'aurai la plus grande inspiration.
En parlant de réponses des maisons d'édition, Milan se fait attendre. Ils annonçaient 2 à 3 mois de délai et mes manuscrits sont partis le 5 mai. On va dire que les manuscrits sont arrivés chez eux le 10 mai au plus tard. Je mets cela sur le compte des vacances. Ce que je souhaite venant d'eux, c'est une réponse positive ou une réponse personnalisée. Ils annoncent sur leur site qu'ils prennent en compte tout le manuscrit.
En effet, notre comité de lecture tient compte dans un manuscrit de la forme mais aussi et surtout du fond, c’est-à-dire du style, de l’idée, la façon dont est traité le sujet, la chute.
J'espère avoir enfin un retour sur la qualité globale de mon manuscrit.

J'ai malgré tout décidé d'envoyer deux nouveaux manuscrits aux éditions L'Atalante et Le Pré aux Clercs. Je les enverrai de la France où les frais seront bien moins élevés qu'ici en Belgique. Les délais seront de 2 à 3 mois en moyenne pour les deux maisons d'édition.

En attendant, bonnes vacances pour ceux qui partent ou qui profitent de ce mois d'aout et je vous dis à dans deux semaines avec du positif, espérons-le !

vendredi 23 juillet 2010

Deux nouvelles réponses

Aujourd'hui, j'ai été gâté. Deux nouvelles réponses sur la même journée. Une par courrier et l'autre par e-mail. La lettre vient de chez Flammarion. Si vous vous souvenez de ce que je racontais dans le message précédent, vous devez aussi comprendre que la réponse est forcément négative. Pas de grande surprise. Enfin, mieux que d'habitude. Cette fois, mon manuscrit n'a pas été retenu par le comité de lecture. Ça change un peu de la réponse sur la ligne éditoriale actuelle.
La deuxième réponse m'attriste un peu plus. Elle vient de chez Gallimard. C'était chez eux que j'avais placé le plus d'espoir. Pas de courrier, juste un e-mail disant ceci :
Nous vous remercions vivement de nous avoir confié votre projet, « La sphère de l'aube ».
Nous l’avons étudié avec la plus grande attention. Malheureusement, malgré ses qualités, il ne nous a pas paru convenir à notre ligne éditoriale.
Nous regrettons donc de ne pouvoir en envisager la publication.

Réponse type ou mon manuscrit comporte-t-il réellement des qualités ? Impossible de savoir. Ils doivent avoir peur de donner trop d'espoir aux jeunes auteurs. ^^

Il ne me reste plus qu'une seule chance chez les éditions Milan. J'envisage déjà de retravailler mon manuscrit et de recueillir de nouveaux avis extérieurs. Dans un mois, je pars en vacances en France. Je compte renvoyer quelques manuscrits de là-bas pour économiser des frais de port. Il ne me reste plus qu'à sélectionner de nouvelles maisons d'édition. J'aurais eu au moins le mérite d'essayer d'abord avec les plus grosses maisons. Après avoir retravaillé mon texte, j'envisagerai peut-être de renvoyer mon manuscrit chez Gallimard Jeunesse. Après tout, cela ne coûte rien l'envoi par e-mail.

Wait and see.

mardi 20 juillet 2010

Recevoir une lettre des maisons d'édition

Vu que je ne suis pas motivé à écrire par cette chaleur, quelques petites nouvelles quand même. ^^
Il y a quelques jours de cela, j'aurais dit : "Quel dommage, pas la moindre nouvelle des maisons d'édition..."
Aujourd'hui, je me dis : "Ouf ! Pas de nouvelles lettres des maisons d'édition !"
Vous allez me dire : pourquoi change-t-il d'opinion et pourquoi est-il si satisfait de ne plus recevoir la moindre lettre alors qu'il semblait impatient d'en avoir de nouvelles ? Comme beaucoup de jeunes auteurs, je guettais chaque matin l'arrivée du facteur dans l'espoir de voir arriver un précieux courrier.
Après quelques recherches et confirmations, je me suis rendu compte que recevoir une lettre par la poste est une mauvaise chose. Au final, la réponse sera toujours négative. Elle peut être encourageante, mais jamais positive. En cas d'acceptation, le contact se fait toujours par voie téléphonique.
Donc, plus les maisons d'édition mettront du temps à répondre, meilleures sont mes chances. Lorsque vous recevez une lettre un mois après vos envois, il faut comprendre que votre manuscrit n'a pas été lu attentivement par le comité de lecture. J'insiste sur le mot "attentivement". Il faut des semaines (voire plus) pour que votre manuscrit passe entre toutes les mains. Du comité de lecture (si ce n'est pas un stagiaire qui fait le tri avant) à la directrice de collection qui prendra la décision finale.

Trois maisons d'édition doivent encore me répondre : Flammarion, les éditions Milan et Gallimard Jeunesse.
Concernant les deux premières, elles annoncent un délai de 2 à 3 mois avant de donner une réponse (positive ou négative). Cela fait approximativement deux mois et demi qu'elles ont reçu mon manuscrit. Davantage pour Gallimard. Concernant celle-ci, j'avais eu un nouvel accusé de réception de mon manuscrit pendant le mois de juin. J'en avais déjà eu un lorsque j'avais envoyé mon fichier par courrier électronique. Je dois ce deuxième accusé de réception à Bénédicte Taffin (dont le livre, Les Yeux d'Opale, sortira en septembre chez Gallimard Jeunesse) qui a demandé à son éditrice si mon manuscrit était bien arrivé chez eux. Dans les 10 minutes qui suivirent cette demande, je recevais ce deuxième accusé de réception. Le mystère reste entier : mon manuscrit a-t-il été placé en haut de la pile ? L'éditrice a-t-elle simplement vérifier que mon manuscrit était arrivé ? Bref, toujours aucune réponse de chez eux. Ce qui peut être aussi encourageant que décourageant.
Vous allez me dire : "Bouh, il a un contact là-bas !"
Et je vous réponds : non. Le "piston" n'existe pas. A moins d'être une célébrité qui sortira une autobiographie, il n'y a aucune raison pour que mon manuscrit soit accepté aussi facilement. Comme tous les autres, il doit passer l'épreuve du comité de lecture et être approuvé par la directrice de collection. Dans le monde de la littérature, le piston ne fonctionne pas ainsi. D'ailleurs, si l'éditrice a vérifié elle-même que mon manuscrit a été transmis, je n'ai pas eu plus d'informations. Je ne sais rien. J'espère juste qu'il n'est pas perdu dans la marée des autres manuscrits qui submerge Gallimard Jeunesse.

Moralité : la patience est une vertu.
Enfin... Tant qu'ils ne téléphonent pas pendant que je serai en vacances...

vendredi 9 juillet 2010

Refus d'Albin Michel Jeunesse

Encore un éditeur bien attentionné qui me renvoie le manuscrit à ses frais. Ça me fait des économies pour plus tard. Ce qui est bien aussi, c'est qu'il est inutile de deviner si la lettre qui accompagne le manuscrit est positive ou pas. Elle sera forcément négative. Pourquoi l'éditeur vous accepterait-il en vous renvoyant votre manuscrit sinon ? D'ailleurs, petite question pour ceux qui passent par ici : une réponse positive peut-elle arriver par courrier ? Ou la prise de contact se fait-elle toujours par téléphone (par exemple) ?

J'aimerais m'attarder deux secondes sur la lettre qui se distingue des autres. Ici, chez Albin Michel Jeunesse, on n'hésite pas à vous faire comprendre que le manuscrit a bel et bien été refusé.
"C'est avec attention que nous avons étudié votre projet, La Sphère de l'Aube. Il ne correspond pas à notre ligne éditoriale, n'entre pas dans le cadre de nos collections et ne pourra donc pas être publié chez nous.
Si vous n'aviez pas encore compris après ces trois lignes, le manuscrit ne leur convient pas. Ils n'hésitent pas à le faire savoir de toutes les façons possibles. Une bien belle lettre impersonnelle.

J'avais envoyé deux manuscrits en adressant la lettre d'accompagnement à deux directrices de collection (les autres étaient adressées aux différents comités de lecture) : Albin Michel Jeunesse et Rageot. Chez Rageot, la lettre était signée par la directrice de collection, Caroline Westberg. Même si j'émets un léger doute quant à la véracité de cette signature, la lettre devenait moins impersonnelle. Chez Albin Michel, le fait d'adresser ma lettre directement à la directrice de collection n'a rien changé. La réponse est signée par le comité de lecture.

Pour finir, je ne sais pas ce qu'ils ont fait avec mon manuscrit, car j'ai remarqué que la dernière page et la feuille plastique de protection à l'arrière avaient été découpées légèrement sur le bas. Un mystère total...