samedi 19 septembre 2009

Introduction de la Sphère de l'Aube

Je sais que je vous avais promis une belle introduction et que vous étiez tous impatients de la découvrir... Quoi je ne suis pas crédible ? ^^
J'ai décidé de réécrire le prologue et de l'adapter différemment.

On m'a fait remarquer que la sauce ne prenait pas comme il fallait. Difficultés de complètement se projeter dans l'histoire et de s'identifier aux personnages.
Normalement tout commence par une vision. Pour des raisons que je n'évoquerai pas ici, il ne m'était pas possible de jouer sur les points de vue et les pensées des personnages. Je devais tout raconter extérieurement.
D'après plusieurs avis, l'approche choisie ne semblait pas correspondre à ce que je voulais transmettre.
C'est un avis que je partageais aussi depuis quelques temps, tournant autour de certaines rectifications qui ne me satisfaisaient toujours pas.
J'ai été même jusqu'à utiliser des pirouettes pour arriver à mes fins mais ça ne fonctionne toujours pas.
Si le premier essai après une série de rectifications ne donne toujours rien, il est plus intéressant de se concentrer sur une autre approche avec une nouvelle entrée à la matière.
Je m'y mets dès aujourd'hui et j'espère vous donner un résultat concret dans le courant de la semaine prochaine :)

J'en profite pour annoncer que j'ai déjà reçu 200 visites en un mois. Merci à toutes les personnes qui passent par ici et qui laissent un petit message. Pour les autres, ne soyez pas gêner, personne ne mord ! ^^

samedi 12 septembre 2009

Ca avance !

Shame on me...

Non, ce n'est pas le titre de la dernière chanson que j'écoute. Je m'excuse de ne pas avoir donné des nouvelles dernièrement.
Je ne dirais pas que j'avais la tête ailleurs, mais ma muse m'a joué des tours (et non ce n'est pas une chanson du groupe Muse !!).
J'ai pris un peu de retard dans mon travail de correction mais ça y est ! Hier soir j'ai finalement mis fin à la dernière phase de correction des répétitions et synonymes. J'ai déjà fortement dégrossi le travail en arrangeant certaines phrases. Par contre, moi qui étais fier d'être arrivé à 400 000 signes, j'en ai perdu plus de 10 000 en supprimant des passages et/ou en simplifiant d'autres. Je les retrouverai sans doute lors de la réécriture. Des descriptions vont être enrichies, des passages éclairés (le comble pour une histoire qui se passe de nuit), des dialogues affinés, des personnages développés, etc...

Je vais reprendre toute mon histoire dès le début et approfondir mon analyse. Dans le courant de la semaine prochaine, j'espère mettre à votre disposition l'introduction de la version la plus aboutie. Dès qu'elle sera retravaillée, elle sera analysée par des bêta-lecteurs de Cocyclics et selon les résultats, j'apporterai encore l'une ou l'autre correction avant de vous la soumettre. J'espère récolter vos avis divers et réactions sur cette mise en bouche qui, je l'espère, vous plaira.

Je dirais que le plus difficile et le plus long reste à venir, mais progressivement je vois le bout du tunnel. Je me fixe un ultimatum : envoyer mon manuscrit avant la fin de l'année 2009. Quatre mois, cela semble long, mais il me faudra bien ça pour peaufiner le plus possible mon texte.
Il y a un concours organisé par les éditions Michel Lafon qui prend fin le 30 septembre. J'aurais aimé y participer, mais il serait stupide d'envoyer un texte bâclé. Concours ou pas, le contenu doit être travaillé et propre.
Je pourrais me dire : "Envoyons le manuscrit tel qu'il est ! Je n'ai rien à perdre après tout !"
En fait si, je perds deux choses : la première est de l'argent, bien que je ne sois pas radin ; la deuxième est une certaine fierté. Je refuse d'envoyer mon texte bâclé.
Ça peut paraître bête, mais quand on a investi autant de temps dans l'écriture d'un manuscrit et que l'on désire qu'il soit le plus abouti possible, on évite d'avoir un peu "honte" de ce qu'on envoie.
Extrême moi ? Je dirais plutôt perfectionniste. Si je ne le suis pas maintenant, et que je ne cherche pas à exiger de moi-même le meilleur, je n'obtiendrai pas un travail satisfaisant.
Je n'ai pas peur du refus ou de l'échec - je ne dirais pas que je m'y suis habitué pour autant. ^^
C'est un contrat que je me suis passé avec moi-même.